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Construire Bordeaux au XVIIIe siècle. Table des matières

TABLE DES MATIÈRES
 
10 Abréviations
 
11 Avertissement
 
13 Introduction
Tout un choix de Laclotte- Le Bordeaux des frères Laclotte- Des personnages et une production mal connus – Une fortune critique exécrable.
 
 
25 PREMIÈRE PARTIE
TRENTE-SEPT ANS D’ACTIVITES EN SOCIETE A BORDEAUX
 
27 Chapitre I
L’implantation des Laclotte à Bordeaux
 
Jean Laclotte père, à l’origine d’une réussite familiale – Une place originale dans la profession jusqu’à l’association avec Étienne – L’invention des premières sociétés Laclotte, une volonté patriarcale
 
33 Chapitre II
Trois maîtres maçons bordelais
 
La formation d’Étienne Laclotte et son hypothétique séjour parisien – Michel et Jean Laclotte : des formations inconnues – Trois notables de la paroisse Saint-Seurin – Pierre Laclotte, un négociant en bois ne dédaignant pas la spéculation immobilière – Des protections et amitiés choisies – Des qualités professionnelles et humaines reconnues et couronnées par l’exercice d’un rôle dans la « cité » – Michel Laclotte, architecte – Étienne et Jean Laclotte : des personnalités complémentaires ?
 
55 Chapitre III
L’organisation corporative du travail, la recherche d’une alternative par les Laclotte
 
55 Les «Maitres Maçons et Architectes de la Ville et Fauxbourgs de Bordeaux » : L’organisation de la profession – Les maîtres maçons bordelais – La formation
62 L’affaiblissement de la corporation : L’opposition des compagnons – Les rapports avec les autorités – Le refus du monopole corporatif
68 Le cas particulier des Laclotte, entre association et clientélisme : Des architectes en société, des associés agrégés – Une clientèle de compagnons – Un réseau d’obligés
 
72 Chapitre IV
Les sociétés Laclotte et leurs activités
 
73 Une société familiale (1761-1772) : Une société verbale – Des collaborateurs occasionnels – La dissolution et le partage de la société Jean Laclotte
77 Des sociétés professionnelles (1772-1793) : L’intégration à la société Jean Laclotte de Blaise Despujols – Les nouvelles sociétés de 1776 – Le coup de force de Jean Laclotte en 1778 : une dissolution toute théorique – Une société « tacite » – Les associés et sociétés « temporaires » – Le partage de 1793, les partages posthumes
 
87 Chapitre V
De multiples activités
 
87 Des maîtres maçons entrepreneurs : Des travaux de plus ou moins d’importance – Des constructions sur les plans d’autres architectes
90 Des affaires immobilières : Des annonces immobilières pour le compte de tiers – Des annonces locatives – Des opérations foncières mal expliquées
94 Des affaires diversifiées : La tentation du commerce, la mobilisation de capitaux – La verrerie des Chartrons – Des carrières de pierre et un essai d’armement fluvial
98 Des investissements sans grand rapport avec l’architecture : Le jeu de paume du cours de Tourny – Le Théâtre Molière
 
 
101 DEUXIÈME PARTIE
UNE GRANDE VARIETE DE CONSTRUCTIONS
 
103 Chapitre I
Les relations avec les chapitres bordelais, les travaux pour le clergé régulier, les établissements charitables et d’enseignement
 
104 Le chapitre de Saint-André : Les travaux à la cathédrale – Les maisons canoniales – Les maisons du chanoine Desbiey : exemple isolé ou pratique courante ?
107 Le chapitre de Saint-Seurin : La tribune d’orgue et les travaux à la collégiale – Les travaux aux bâtiments canoniaux – Les abords de la collégiale 111 Les clients réguliers : L’agrandissement du couvent des Feuillants – L’annexe de l’église Sainte-Croix au Pont-du-Guit – Les dames Carmélites – Les travaux pour l’abbaye de L’Isle
115 Les établissements charitables et d’enseignement : L’hôpital de la Manufacture – L’hôpital Saint- André – L’hôpital des Incurables
118 Le séminaire de la Mission : Les bâtiments du séminaire – Les maisons locatives de la Mission, rues du Palais-Gallien et Judaïque-Saint-Seurin
 
122 Chapitre II
La participation aux « embellissements » de Bordeaux
 
122 L’achèvement du « Bordeaux de Tourny » : La façade des quais – La maison Duffour place du Marché-Royal – La place Dauphine – Les abords de la place Dauphine – Le cours de Tourny – Les terrains des Jésuites – L’hôtel de Lalande et le lotissement de l’archevêché
134 Les abords de la nouvelle salle de spectacle : La place Richelieu – Le cours du Chapeau-Rouge – Les maisons du comte de Rolly – L’îlot dit « îlot Bonnaffé » – Un programme pour la place de la Comédie ?
 
 
147 Chapitre III
Les lotissements Dumas et Mitchell
 
147 L’entreprise des lotissements du Pavé des Chartrons : La limite méridionale du quartier des Chartrons – L’initiative de Pierre-Henri Dumas de Laroque – La maison « exemplaire » de Christophe Gernon – L’ambitieux projet de lotissement de François-Patrice Mitchell – Un apparent succès
154 Les difficultés de François-Patrice Mitchell : Ralentissement des ventes, échec de la tentative de déménagement de la verrerie et procès familial – La séparation entre Mitchell et les frères Étienne et Jean Laclotte – Un lotissement inachevé et un nouveau propriétaire, des perspectives désormais à long terme – Patrice Mitchell de Larmandie et l’éviction de François-Patrice Mitchell
157 Bilan des lotissements Dumas et Mitchell : Une chronologie des constructions difficile à établir – Une spéculation entre particuliers, l’exemple des terrains de Jean Dumaine – Les sociétés Laclotte et les lotissements Dumas et Mitchell : une œuvre synthétique appréciée du public et des autorités – Peu de chantiers certains, beaucoup de chantiers probables
 
162 Chapitre IV
Les lotissements Hustin
 
163 Le lotissement de Denis-Jacques-Ferdinand Hustin : Le projet de la rue Hustin – Le schéma général du lotissement Hustin et le débouché sur la rue Dumas – Le succès des terrains du cours de ouverture des rue et impasse Hustin, la reprise du lotissement en 1774 – Les constructions attribuables aux Laclotte – Les vestiges des maisons à façade uniforme – Les maisons de la rue Hustin et l’achèvement du lotissement
172 Le lotissement de la rue Victoire-Américaine : Les derniers terrains de la faïencerie Hustin – L’achat des terrains Hustin et l’ouverture du lotissement – Des ventes et chantiers relativement rapides – Des façades stéréotypées, d’autres plus originales – Des maisons locatives, pour la plupart de qualité
 
179 Chapitre V
La rue Fondaudège et le lotissement Duplessy
 
179 Du chemin du Médoc à la rue Fondaudège : Le terrain Verthamon – L’extension du fonds, la construction de l’hôtel d’Augeard – Les maisons d’Étienne et Michel Laclotte
183 Le lotissement des terrains Duplessy : La vente de la maison Duplessy et le projet de nouvelle voirie – L’acquisition Boissière-Brun, la patiente immixtion des Laclotte dans le lotissement et le percement de la rue portant leur nom – Des investissements à long terme – Un lotissement concerté dû aux Laclotte – Des constructions attribuables aux Laclotte – L’agrandissement du lotissement Duplessy aux terrains du Jardin des Plantes
 
195 Chapitre VI
De la place Dauphine à la place du Pradeau
 
196 La rue Judaïque : Les premiers achats à la croix de Saint-Martin – Les Ordinants et le lotissement de Jean Laclotte – Le lotissement Castelnau d’Auros – L’hôtel de Castelnau d’Auros
206 Les abords de la collégiale Saint-Seurin : La difficile ouverture de la rue Saint-Étienne – La place du Pradeau et la rue de la Concorde – Les premières constructions autour de la collégiale – Un lotissement « abandonné » par les Laclotte
 
212 Chapitre VII
Les quartiers occidentaux du faubourg Saint-Seurin
 
213 Le plantier de Terre Nègre : Les premières opérations à Terre-Nègre – L’acquisition de 1778 – Les rues Bouchet et de Bel-Air – La rue Lufflade – Les derniers terrains des sablières
219 Le quartier de la Trésorerie : Le domaine de Léonard Pick et les terrains Mondenard – Les premières ventes dans la rue Mondenard – L’ouverture des rues Sainte-Luce et Laclotte – L’opposition du 12 mai 1785 – L’ordonnance du 3 septembre 1787 et l’achèvement du lotissement – Les derniers terrains Mondenard et le rachat des droits féodaux – Les terrains de la rue Tronqueyre et du côté est de la rue de la Trésorerie – Des échoppes améliorées – D’hypothétiques sous-traitants, le mystère Bergerac
 
232Chapitre VIII
De nombreux chantiers « ponctuels » dans la ville
 
 
233 Les reconstructions au cœur de Bordeaux : Deux édifices à balcon sur trompe : les maisons Fourcade et Chamblan – Des constructions chronologiquement éloignées mais proches par leur décor : les maisons Ducos et Chatry – Des constructions contemporaines aux décors très différents : l’ancien hôtel Dalon et la raffinerie de Tanaÿs Boutet – Un exercice particulier, le petit hôtel de Jean Ravezies – Une maison de grands négociants dans la vieille ville : la maison Le Tellier – Un catalogue d’ornements : la maison de Jean Laclotte rue Porte-Dijeaux – Les nombreuses maisons locatives de François Bonnaffé – Deux constructions détruites : les maisons Laloubie et Bernard
247 Le cas particulier du quartier des Chartrons : La maison de Pierre Ferrière – La maison de Claude-Ange Domenge de Pic de Blaÿs – La maison de Nicolas Barreyre – La maison de Jacques de Bethmann
252 Des constructions isolées dans le faubourg Saint-Seurin : Le quartier de la rue du Palais-Gallien – La maison de Jean Dumaine – Les rues de la Taupe
 
255 Chapitre IX
Maisons de campagne et châteaux
 
 
Pique-Caillou à Mérignac – Le château du Burck à Mérignac – La maison Labottière, « chemin du Médoc » – Le château de Virazeil – « Chénevert » à Mérignac, ou la maison de Marie-Claire – Le bourdieu de Maucamp à Talence – Le château de La Tour à Cérons – Des projets et constructions non réalisés ou inachevés : le château de Laroque à Saint-Germain-de-la-Rivière, le Mayne d’Anice à Podensac – Le jeu aléatoire des attributions : Cholet et Margaut à Talence, la Dame-Blanche au Taillan
 
287 TROISIÈME PARTIE
UNE ARCHITECTURE SPECIFIQUE ?
 
289 Chapitre I
L’exercice d’une profession sous la surveillance des autorités
 
Les règlements municipaux, les ordonnances du Bureau des finances – Des conflits de compétence sous l’arbitrage du Parlement – La voirie : les empiétements ; les alignements ; les nouvelles voies ; les saillies – La mitoyenneté : le problème des endronnes ; les règlements de mitoyenneté – L’hygiène et la sécurité : les écoulements, la prévention des risques d’incendie ; la solidité des édifices ; la sécurité sur la voie publique – La police des chantiers
 
302 Chapitre II
Les matériaux et fournitures
 
302 Les matériaux de gros-oeuvre : Pierres et moilons, des carrières géographiquement concentrées – Les pierres de la région de Bourg-sur-Gironde : les dimensions des différents blocs de pierre ; autres pierres provenant de Bourg et Roque-de-Tau, commercialisation des pierres du Bourgeais – Les pierres pour la moulure – Les pierres dures du Bordelais : les types de blocs de pierre dure ; commercialisation des pierres dures – Autres pierres utilisées en gros-oeuvre : pierres du Bordelais ; pierres de démolition ; pierres importées d’autre régions – Marbres – Matériau de liaison – Les matériaux de terre : les tuiles ; les carreaux – Le bois : les bois de charpente ; les bois de plancher – Le métal
314 Les matériaux et fournitures de second-œuvre : La pierre de sculpture – La terre cuite – Les bois de menuiserie – Le plâtre – Les enduits et peintures– Le verre à vitre – La serrurerie : serrurerie et quincaillerie, ferronnerie
 
 
323Chapitre III
Des édifices
 
Les commandes – La maçonnerie – Les articles annexes à la maçonnerie – L’échoppe, un habitat spécifiquement bordelais – Les petites maisons locatives : une alternative à l’habitat vertical ? – Les maisons particulières : les maisons à corps de bâtiment unique ; les maisons à deux corps de bâtiment ; les maisons à entrepôts ; les façades ; vers une spécialisation des niveaux et des pièces ; les « équipements » et les éléments de confort – Les hôtels : le respect de la tradition – La construction à la campagne
 
357 Chapitre IV
L’ornement et le décor d’architecture
 
L’influence limitée des architectes des intendants – Les années d’association à trois : des tâtonnements – La parcimonieuse utilisation des ordres – La maison Labottière : une synthèse de la «manière » Laclotte vers 1775 – Le goût à la grecque – La tentation du néo-classicisme – Le décor intérieur
 
393 Conclusion
 
Le spectre honteux de la spéculation – Du succès au mépris : le malentendu – Une alternative à l’architecture académique – Un « bureau » aux talents multiples, parfaitement organisé et au service d’une large clientèle
 
 
404 Annexes
 
 
I. Pièces justificatives –
II. Métrologie –
III. Glossaire
IV. Viographie –
V. Catalogue des maisons situées dans les anciennes paroisses de Bordeaux attribuables aux Laclotte
 
420 Sources et bibliographie
 
431 Index
 
439 Table des illustrations
 
444 Plans de situation